Bonjour et bienvenus dans ce pays au nom adjectif masculin= Bénin féminin= Bénigne. Pourtant les habitants ne se font pas appelés bénins et bénignes.
Permettez-moi ce petit préambule du dessous (il me tenait à cœur). En fait je vous ferai faire le tour du propriétaire de ce pays de 112 620 Km2, non pas que j'en suis le propriétaire mais j'y pense depuis trop longtemps pour ne pas le partager avec vous.
On sait que le Niger tire son nom du fleuve Niger, La Côte d'Ivoire des éléphants qui abondaient ainsi de suite et que le Dahomey "dans le ventre du serpent" aussi avait son histoire mais quant au " Bénin" , il est comme tombé du ciel, nous y reviendrons plus tard. L'enveloppe ainsi décryptée rentrons au Bénin maintenant.
"Mi Kwabo" Comme pour vous dire Bonne arrivée au Bénin, pays au nom intriguant; escale à Cotonou. Ah cette ville !
Vous serez surpris de voir qu'à Cotonou, l'habit local est de couleur jaune, avec un numéro dans le dos comme pour dire qu'on sait qui est qui , qui fait quoi. Il ne s'agit en fait que des "Zémidjan", infatigables conducteurs de taxi motos, qui nous amènerons découvrir l'insalubrité légendaire de cette ville déjà presque légendaire; en route !
Nous ne pouvons pas venir dans cette ville légendaire sans aller dire bonjour au père de famille, Mr le président , ce très très sympathique docteur ('en économie), pas étonnant que la présidence soit en face du CNHU, le plus grand hôpital du pays. Une fois le bonjour du père de la nation livré, remontons derrière notre sympathique guide le zémidjan qui n'est pas du tout pressé de livrer le tarif au fur et à mesure qu'on évolue. Direction stade de l'amitié, ah ce fameux stade, là où les footeux béninois viennent voir leurs ambassadeurs , les écureuils grignoter les ballons comme des noix. Avant dernier carrefour avant le stade, "carrefour Toyota" là déjà Mr l'agent nous fait signe d'emprunter le trafic local c'est la nouvelle règle, on ne discute pas. A la queue leu-leu, on finit par arriver au stade de l'amitié, quoi je cherchais toujours le stade en étant sur l'esplanade , le temps de demander au zémidjan si c'est bien le stade, je me rend déjà compte que ma facture fait bel et bien 8 000 F CFA pour 5 km parcourus; Dieu soit loué pour cela. Rentrons néanmoins au stade, plus de peur que de mal, c'est bel et bien le stade de l'amitié quoi que l'activité qui y marche le plus n'est le football mais le bar-ball, comme pour attirer votre attention sur le pléthore de bars et de restaurants qui pilulent aux alentours comme à l'intérieur. On a envie de se demander si ne n'est pas les barmen qui viennent jouer les matches , mais ce n'est pas à nous de le dire, on est des touristes rappelez-vous !
Il est temps de chercher un nouveau zémidjan pour aller au centre ville, mais nous négocierons le prix cette fois ci avant de grimper derrière. Direction centre ville, mais là, c'est vraiment la stupéfaction. A peine descendu à Tokpa qu'on entendait déjà "ago" comme le fit tout le monde on s'écartait aussi pour laisser passer ce valeureux pousse-pousseur . Perdu face à l'immensité du marché alors qu'il est déjà midi, nous préférons y revenir avec un guide qui en sait quelque chose. En attendant la chaleur nous étouffe et la faim nous embrasse. Allons à la plage de Fijrossè!
épisode 1/2 sur le verlan béninois, ou nois-béni si vous préférez!
En attendant que Dieu nous bénisse et nous protège de Ebola (le mal du moment)
N'oubliez pas de vous abonner pour l'épisode 2
Permettez-moi ce petit préambule du dessous (il me tenait à cœur). En fait je vous ferai faire le tour du propriétaire de ce pays de 112 620 Km2, non pas que j'en suis le propriétaire mais j'y pense depuis trop longtemps pour ne pas le partager avec vous.
On sait que le Niger tire son nom du fleuve Niger, La Côte d'Ivoire des éléphants qui abondaient ainsi de suite et que le Dahomey "dans le ventre du serpent" aussi avait son histoire mais quant au " Bénin" , il est comme tombé du ciel, nous y reviendrons plus tard. L'enveloppe ainsi décryptée rentrons au Bénin maintenant.
"Mi Kwabo" Comme pour vous dire Bonne arrivée au Bénin, pays au nom intriguant; escale à Cotonou. Ah cette ville !
Vous serez surpris de voir qu'à Cotonou, l'habit local est de couleur jaune, avec un numéro dans le dos comme pour dire qu'on sait qui est qui , qui fait quoi. Il ne s'agit en fait que des "Zémidjan", infatigables conducteurs de taxi motos, qui nous amènerons découvrir l'insalubrité légendaire de cette ville déjà presque légendaire; en route !
Nous ne pouvons pas venir dans cette ville légendaire sans aller dire bonjour au père de famille, Mr le président , ce très très sympathique docteur ('en économie), pas étonnant que la présidence soit en face du CNHU, le plus grand hôpital du pays. Une fois le bonjour du père de la nation livré, remontons derrière notre sympathique guide le zémidjan qui n'est pas du tout pressé de livrer le tarif au fur et à mesure qu'on évolue. Direction stade de l'amitié, ah ce fameux stade, là où les footeux béninois viennent voir leurs ambassadeurs , les écureuils grignoter les ballons comme des noix. Avant dernier carrefour avant le stade, "carrefour Toyota" là déjà Mr l'agent nous fait signe d'emprunter le trafic local c'est la nouvelle règle, on ne discute pas. A la queue leu-leu, on finit par arriver au stade de l'amitié, quoi je cherchais toujours le stade en étant sur l'esplanade , le temps de demander au zémidjan si c'est bien le stade, je me rend déjà compte que ma facture fait bel et bien 8 000 F CFA pour 5 km parcourus; Dieu soit loué pour cela. Rentrons néanmoins au stade, plus de peur que de mal, c'est bel et bien le stade de l'amitié quoi que l'activité qui y marche le plus n'est le football mais le bar-ball, comme pour attirer votre attention sur le pléthore de bars et de restaurants qui pilulent aux alentours comme à l'intérieur. On a envie de se demander si ne n'est pas les barmen qui viennent jouer les matches , mais ce n'est pas à nous de le dire, on est des touristes rappelez-vous !
Il est temps de chercher un nouveau zémidjan pour aller au centre ville, mais nous négocierons le prix cette fois ci avant de grimper derrière. Direction centre ville, mais là, c'est vraiment la stupéfaction. A peine descendu à Tokpa qu'on entendait déjà "ago" comme le fit tout le monde on s'écartait aussi pour laisser passer ce valeureux pousse-pousseur . Perdu face à l'immensité du marché alors qu'il est déjà midi, nous préférons y revenir avec un guide qui en sait quelque chose. En attendant la chaleur nous étouffe et la faim nous embrasse. Allons à la plage de Fijrossè!
épisode 1/2 sur le verlan béninois, ou nois-béni si vous préférez!
En attendant que Dieu nous bénisse et nous protège de Ebola (le mal du moment)
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